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Une méthodologie

Les méthodes sont basées sur la pratique de l'Art de vivre qui, par induction, débouche sur des informations qui marque la différence avec un quotidien sous pression. Ce choix est en lien avec l’ouvrage de David Bernard.

Il présente à la manière du code de la route, le parallèle humain / véhicule, expliquant le stress d’une manière originale.

Dans les cas d’épuisement, l’esprit est dispersé. Le processus menant de l’action à l’information théorique est un moyen : il soulage le système de pensées, utilisant ainsi d’autres canaux d’apprentissage.

La sensibilisation par l’action passe par des exercices ludiques, des activités créatives, des échanges. Avec la dynamique de groupe, ces ateliers s’enchaînent pour former un rythme ; celui ci s’inscrit en mémoire grâce à des ambiances différentes qui servent de support à l’enseignement.

Ce procédé de formation suit « la mémorisation en 3 étapes » expliquée dans l’article PRISMES 2010 de C.Peter-Favre. Durant ces étapes, la mémoire immédiate et la mémoire de travail sont utilisées. Les évaluations, quant à elles, apportent des éléments pour élaborer une connaissance générale. Cette dernière s’inscrit dans la mémoire sémantique du participant. Un souvenir de vacances lié à des évocations est marqué dans les mémoires à long terme. Il relie à une émotion faisant appel à la mémoire épisodique.

D’autre part, les résultats des ateliers d’épuisements menés par des scientifiques montrent que le groupe constitue un atout majeur. Il permet au participant de se distancier des activités habituelles, pour auto évaluer objectivement ses ressources

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